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UN PTIT CAFE
Pour quelques minutes ou quelques heures, chacun s'abandonne au sommeil. Havre de paix pour certains, perte de temps pour d'autres, le plus difficile est de trouver le bon équilibre.
Douce nuit à vous tous et toutes...
L'amour sans philosopher
C'est comme le café
Très vite passé. ". Serge Gainsbourg, chanteurQuelle est la différence entre un homme et une tasse de café?
Aucune, les deux tapent sur les nerfsQuand l'après-midi languit, les ombres renaissent
Et dans lequel toutes les plantations de café se sentent à nouveau
Cette chanson triste de l'ancien moulin
Que dans la nuit la léthargie semble gémirQuand l'après-midi languit, les ombres renaissent
Et dans lequel toutes les plantations de café se sentent à nouveau
Cette chanson triste de l'ancien moulin
Que dans la nuit la léthargie semble gémir
Pitié d'amour et de tristesse
Il porte le sambo Manuel dans son amertume
Passez la nuit agitée café moudre
Quand l'après-midi languit, les ombres renaissent
Et dans lequel toutes les plantations de café se sentent à nouveau
Cette chanson triste de l'ancien moulin
Que dans la nuit la léthargie semble gémir
Pitié d'amour et de tristesse
Il porte le sambo Manuel dans son amertume
Passez la nuit agitée broyage de café
Quand l'après-midi languit, les ombres renaissent
Et dans lequel toutes les plantations de café se sentent à nouveau
Cette chanson triste de l'ancien moulin
Que dans la nuit la léthargie semble gémir (2)
Que dans la léthargie de la nuit ...
Il semble gémir.Le café est une source d'inspiration inépuisable. De nombreux poèmes lui ont été consacrés et j'ai souhaité vous faire partager celui de l'abbé Delille (aussi appelé Jacques Delille).
« Il est une liqueur au poète plus chère
qui manquait à Virgile et qu'adorait Voltaire.
C'est toi divin café, dont l'aimable liqueur
sans altérer la tête épanouit le coeur.
Ainsi quand mon palais est émoussé par l'âge,
Avec plaisir encor je goûte ton breuvage.
Que j'aime à préparer ton nectar précieux !
Nul n'usurpe chez moi ce soin délicieux.
Sur le réchaud brûlant moi seul tournant ta graine,
A l'or de ta couleur fait succéder l'ébène :
Moi seul, contre la noix qu'arment ses dents de fer,
je fais en te broyant crier ton fruit amer.
Charmé de ton parfum, c'est moi seul qui dans l'onde
infuse à ton foyer ta poussière féconde ;
Qui tour à tour calmant, excitant tes bouillons,
suis d'un oeil attentif tes légers tourbillons.Enfin de ta liqueur lentement reposée
dans le vase fumant la lie est déposée :
Ma coupe, ton nectar, le miel américain
Que du suc des roseaux exprima l'Africain,
Tout est prêt. Du Japon l'émail reçoit tes ondes
Et seul tu réunis le tribut des deux mondes.
Viens donc divin Nectar, viens donc, inspire-moi...”
Les Trois Règnes de la Nature
LE CAFE DOIT ETRE NOIR COMME L'ENFER ,FORT COMME LA MORT ET
DOUX COMME L'AMOUR
ORIGINE DU